Même si la cholangite sclérosante primitive (CSP) est fréquemment associée à une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI), en particulier la rectocolite hémorragique, les deux maladies évoluent de manière indépendante.
Mettre la MICI en rémission, grâce aux traitements immunomodulateurs ou biologiques, est bien sûr essentiel pour améliorer la qualité de vie globale du patient. Toutefois, il n’existe pas de preuve que cela ralentisse la progression de la CSP.
C’est pourquoi un suivi spécifique et régulier de la CSP reste indispensable, même lorsque la MICI est bien contrôlée.