Tout d’abord, l’activité physique et la kinésithérapie sont fortement recommandées en raison de son impact sur les douleurs et la qualité de vie.
De plus, même si les preuves scientifiques de leur efficacité sont globalement faibles, les études scientifiques indiquent que :
- la neurostimulation électrique transcutanée (TENS) aurait une action bénéfique sur la douleur et la force musculaire
- la méditation pleine conscience améliorerait les douleurs et l’humeur
- la thérapie cognitive-comportementale agirait surtout sur l’anxiété et la fatigue
- l’acupuncture pourrait diminuer l’inflammation et améliorer la qualité de vie
- le Tai-Chi diminuerait l’intensité des douleurs
- l’hypnose et l’auto-hypnose pourraient agir sur les douleurs articulaires, leur efficacité ayant déjà été montrée dans les douleurs musculosquelettiques.
Ainsi, cette approche intégrative doit être personnalisée et peut participer à améliorer la qualité de vie. Elle prend en compte de nombreux facteurs, tels que le mode de vie et les ressources disponibles. En effet, même si les interventions non médicamenteuses ont peu d’effets indésirables, leur remboursement reste rare.