Lors de son intervention, Camille a défini de manière précise ce qu’est le handicap, en insistant particulièrement sur le handicap invisible, souvent méconnu. Elle a évoqué des statistiques alarmantes concernant les discriminations liées à ces handicaps invisibles, non seulement dans le milieu médical, mais également dans d’autres secteurs professionnels. Ces chiffres témoignent de l’ampleur du problème et de la nécessité de mettre en place des dispositifs concrets pour y remédier.
Camille a rappelé que le handicap ne se limite pas aux aspects physiques visibles et que de nombreuses personnes souffrent en silence de troubles invisibles qui impactent lourdement leur quotidien.
L’un des points majeurs soulevés par Camille a été la question des aménagements pour les personnes en situation de handicap, en particulier les internes en médecine. Elle a mis en avant des solutions comme la Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH), qui permet d’accéder à des droits spécifiques et des aménagements de poste. Elle a également évoqué le temps partiel thérapeutique, une mesure permettant à ceux qui en ont besoin d’adapter leur rythme de travail à leur état de santé.